• - Vous avez apporté vos fiches ? demanda Holden à Alec, Alan et Harlan.

    - Évidemment, idiot ! grogna Alec. Où est Grace ?

    Cela faisais deux semaines qu'ils avaient eu à faire les exposés. C'était enfin le grand jour. ils devaient présenté leurs exposer.

    - Mais je suis là, Ar... Alec. Toujours aussi impatient, à ce que je vois... Eh bien, tu commencera. Présente-nous Arès !

    Alec souffla, et Anetha gloussa moqueusement. Elle reçu une œillade noire du garçon.

    - Arès est le dieu de la Guerre et de la Destruction. Fils de Zeux et de Héra, il est assimilé à Mars chez les Romains.

    - Oh, par tous les dieux, ne me parle pas des Romains ni de Mars, je t'en conjure !

    Alec lui jeta étonner, puis continua. Après lui passa Zion, Hope, Percy et Hunter. Quand vint le tour d'Honey, Holden se fut plus attentif. Il aimais beaucoup cette douce fille aux longs cheveux roux et aux yeux bleus qui pouvais se transformer en lionne quand la classe se disputait ou était insultée.

    - Hestia est la gardienne du feu sacrée et de la famille, commença Honey de sa voix douce. c'est une déesse vierge, et elle préfère s'occuper de sa famille que batifoler comme Aphrodite.

    Charmé par la voix de la jeune fille, Holden ne prenais pas garde à ses paroles. Enfin, elle finis et laissa sa place à Destiny. Puis vint le tour d'Anetha, d'Avril, d'Aleah, d'Harlan et d'Alan. Holden passa en dernier. A la fin de son exposé, Grace les regardaient tous avec les yeux pétillant.

    - Quel bonheur de vous retrouver, murmura-elle.

    - Quoi ? s'étonna Hope.

    Grace lui jeta un regard attristé.

    - A votre avis, pourquoi est-ce que je vous fait apprendre les dieux grecs ?

    Il n'y eu aucune réponse. Grace s'assit sur son bureau.

    - Zion,  tu as toujours été le délégué de classe. Tu es aimé et respecté par les autres élèves. Tu sait comment rendre justices parmi eux. Tel que Zeus.

    Elle se tourna vers Hope.

    - Et toi, ma chérie ? Féministe et majestueuse. Tout comme Héra. Percy tu es à l'aise dans l'eau, même plus que sur terre. Et de quoi Poséïdon est le dieu ?

    - De la mer, fit Percy.

    - Exact. Et c'est pareil pour chacun d'entre vous.

    - Comment ça , demanda Alec.

    Grace les regarda tous un à un, lentement.

    - Mes chéris, vous êtes des dieux.

    Holden jeta un regard à Harlan, se demandant si leur prof d'Histoire n'avait pas perdu la tête. Mais le garçon boiteux était captivé par la femme.

    - C'est à cause de ça ma jambe ? Je suis... Héphaïstos ?

    Grace acquiesça. 

    - Oui. Et tu as du mal à ne pas te servir de tes mains, non ? C'est tout naturel car tu est le dieu forgeron.

    - Mais comment pourrions-nous être des dieux ? demanda Anétha. Les dieux sont sur l'Olympe, pas ici.

    - Non, justement. Depuis dix-huit ans, les dieux ne sont plus sur l'Olympe. Enfin, si, il reste Dionysos, mais il n'a pas eu le choix...

    - Attendez... quoi ? s'exclama Zion.

    - Racontez-nous ça depuis le début enchaîna Percy.

    Grace soupira. 

    - Ce sont des heures bien sombres, mais bon... Les dieux romains et égyptiens s'allièrent contre les dieux  grecs non pas sans le soutiens d'Ouranos, mon ancien mari...

    - Pardon ? fit Hope. Alors vous êtes...

    - Gaïa, la Terre. Votre grand-mère, votre ancêtre, mes chéris. Mais continuons. Ils attaquèrent les dieux avec de nouvelles armes, et réussirent à capturer Dionysos et Morphée, le dieux des rêves. Alors, Arès et Athéna planifièrent un plan de bataille pour les récupérez. Ils réussirent à aller chercher Dionysos, mais au prix de terribles sacrifices, et les dieux faillirent de pas survivre. Ce fut Morphée, encore prisonnier, qui apparut en rêve à Athéna, et lui ordonna qu'elle et les autres dieux devaient quitter l'Olympe en devenant mortel. Il montra à son éternelle amie où il avait caché une réserve de fiole de mortalité. Alors... Non, ce serais plus simple de vous montrer.

    Elle sortis de son sac une grosse boule en verre, et la présenta aux jeunes gens.

    - Voilà ce qui s'est vraiment passer :

    Les élèves se penchèrent sur cette boule, et virent a l’intérieur un homme musclé à la barbe brune et aux yeux de cristal. Il tendit une fiole au soleil, comme pour voir ce qu'il y avait dedans par transparence. Mais il n'y avait qu'un peu de liquide doré.

    - Je suis partagé... murmura Zeus -car c'était lui. J'ai envie de partir le premier pour que vous voyez ce que vous risquer, mais je veux quitter ce palais en dernier...

    - Nous voulons tous dire adieu à l'Olympe, fit une nouvelle voix.

    Sur la boule apparu une belle femme aux cheveux noirs et aux yeux océans.

    - Après tous, c'est notre maison, ajouta-elle.

    - Voici Hestia, fit Grace.

    - Tu as raison ma sœur, fit une nouvelle déesse, aux cheveux noirs attaché et retenus par une couronne.

    Elle alla prendre la main libre de Zeus, et la porta à ses lèvre. Ses yeux brillaient d'amour éperdus.

    - C'est pourquoi nous devrions partirent en même temps, fit-elle.

    Zeus la regarda tendrement, et se pencha pour l'embrasser.

    - Héra à raison, fit un grand homme aux cheveux et à la barbe bruns.

    Dans ses yeux semblaient danser les vagues de la Méditerranée. Poséidon. Apparus soudain deux autres personnage, une femme aux cheveux fauves retenus par des plantes de toutes sorte et un homme grand et maigre, ténébreux.

    - Elle n'est pas revenue, murmura la femme.

    Zeus la regarda en soupirant.

    - Si Perséphone à choisi l'autre camp, nous ne devons plus l'attendre, Déméter. 

    - Non c'est faux ! protesta l'homme noir. Elle ne peut pas nous avoir quitter ainsi...

    - Hadès... murmura un nouvel homme, un blond aux yeux vert. Hadès, elle ne reviendra pas. Elle est partie. 

    Il se reçu une œillade noir d'un autre homme, plus beau que tout ceux déjà présent.

    - Nous devons partir maintenant, fit une femme aux cheveux noirs frisé et aux yeux vert feuille. Morphée à été clair. Si nous restons, c'est la damnation éternelle. Et nous savons à quel point Osiris et Jupiter peuvent être d'horribles bourreaux...

    - Artémis à raison, fit une femme aux cheveux châtains et aux yeux pers. Il faut partir.

    - D’accord, fit une sublime femme blonde en tendant sa fiole. A trois...

    Sa voix se brisa.

    - A trois, nous buvons, finit-elle.

    - Un... chuchota un guerrier aux yeux sauvages.

    - Deux, soupira un homme déformé et boiteux.

    - Trois, dit finalement un homme coiffé de raisins.

    A ce moment là, tous burent leurs fiole et disparurent... sauf l'homme aux raisins et la femme aux yeux pers. La femme -Athéna- se tourna vers l'homme -Dionysos.

    - Tu peux encore changer d'avis... fit-elle.

    - Non, Athéna. Je reste. Il faut quelqu'un pour garder l'espoir. Car, quand vous aurez disparut, toute votre armée ne saura que faire. Il faut quelqu'un pour leur dire de rester fidèle. Quelqu'un pour garder les souvenirs. 

    Il la regarda de ses yeux violet.

    - Et je te jure, ma sœur, que je serais celui qui te donnera ta première nouvelle gorgée d'Ambroisie, je serais celui qui te rendra tes souvenirs. Mais il faut que tu partes.

    Soudain, la qualité de l'image se brouilla, et le son disparut. Quelques secondes plus tard, Athéna et Dionysos revinrent, nettes. Dionysos embrassa Athéna sur le front, et Athéna but d'une traite la fiole d'or. Puis, la boule de verre s'éteignis.

    - Pourquoi il y a eu une zone de flou ? demanda Anétha.

    - Tu as, probablement sans l'ignorer, masquer votre conversation. Personne d'autres à part vous ne pouvais vous entendre et vous comprendre. C'est à toi de t'en souvenir.

    Anétha fronça les sourcils. 

    - Je ne me souvient de rien.

    - Comme chacun d'entre nous, fit Holden. Ça veut probablement dire quelque chose, non ?

    - Tu pense que je mens ? demanda Grace.

    - Je pense que vous êtes folle, corrigea Holden.

    - Holden ! s'écria Honey.

    - Désoler, mais vous croyez vraiment ce qu'elle dit ? Elle n'a aucune preuve !

    - Et ça, tu trouve ça bien ? fit moqueusement Grace.

    Elle claqua des doigts, et la plante présente dans la classe, un petit ficus, se mit à pousser, pousser, pousser, jusqu’à atteindre le plafond sous les cris des élèves. 

    - Je suis la déesse de la Terre, fit Grace.

    Soudain, Destiny s'avança et tendit la main vers la plante. Celle-ci cessa de pousser, et rétrécit lentement jusqu'à reprendre sa taille normal.

    - Et moi des plantes... murmura-elle.

    Hésitant, Percy se tourna vers le petit robinet au fond de la classe. Il tendit la main, et ferma les yeux. Il ne se passa rien. Soudain, le robinet explosa, et l'eau se précipita vers Percy, qui poussa un cri et détourna la main. L'eau partis s'écraser sur une fenêtre.

    - L'eau m'a toujours appeler... fit-il. Et elle continuera toujours.

    Il se tourna vers ses amis.

    - Nous sommes les dieux de l'Olympe.


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  • Percy était assis au fond de la piscine de l'Université. Ses cheveux noirs flottait doucement dans l'eau turquoise. Il leva la tête vers le haut. Oui, il fallait sortir. Sinon, il risquait d'être en retard en cour. Alors, lentement dans cet élément dans lequel il se sentait si bien. Il se leva et remonta vers la surface. Il surgit la tête hors de l'eau. Sur un banc à coté du bassin, son meilleur ami, Zion, l'attendait. Percy sortis de l'eau.

    - Ben alors, fit Zion en lui tendant une serviette. Tu t'es endormi ?

    Percy l'accepta et commença à se sécher les cheveux. Comme d'habitude, son corps n'était pas mouillé.

    - Ça dépens, j'y ai passer combien de temps ? Tu sais bien que je pers mes repère quand je suis dans l'eau.

    - Pour toi, vingt minute, c'est longtemps ou pas ? Parce que tu es rester là dedans vingt minute sans respirer.

    Percy fronça les sourcils et fit le calcul.

    - Mais alors... commença-il.

    - Nous sommes en retard d'un quart d'heure, l’interrompis Zion, les yeux rieur.

     

     

     

    Toc toc toc.

    Anetha releva la tête de son problème de math, exaspérer.

    - Oui ? fit Mme Moore.

    La porte de la salle de cour s'ouvrit pour laisser passer Percy et Zion, les deux garçons les plus populaires de l'Université.

    - Vous êtes en retard, fit la prof.

    - Désoler Madame, on n'a pas réussi à se lever, plaisanta Zion.

    Mme Moore secoua la tête, et leur fit signe de regagner leurs place. Les deux garçons s'installèrent au fond, et commencèrent leurs exercices.

    - Mais pourquoi on leur passe tout, à eux ? pesta Anetha à sa voisine, Avril.

    - Tu sais bien qu'ils font ce qu'ils veulent, souffla Avril. Ce sont les préférés.

    - Il est temps que ça change ! Les préférés devraient être ceux qui travaille le mieux ! avança Anetha.

    - Laisse tomber. Ça ne se passera jamais comme ça.

     

    Dès que Mme Moore fut partie, emmenant tous ses cahiers, Hope se tourna vers Percy et Zion.

    - Quand allez-vous enfin arrivés à l'heure ? demanda-elle.

     - Oh, pas avant longtemps, fit Aleah en rejeta ses sublimes cheveux longs en arrière.

    - Ils ne savent pas être à l'heure, c'est une fatalité ! ricana Alec en regardant Aleah avec envie.

    - Et pourtant, les profs leurs passent tous, avança Anetha.

    Tous se figèrent, et se tournèrent vers Anetha et Avril, qui étaient à l'avant de la classe.

    - Que veux-tu dire ? aboya Hunter.

    - Laisse, Hunter, fit Zion en se redressant sur sa chaise.  Qu’insinues-tu,  Anetha ?

    - Anetha ! gémit Avril.

    - C'est simple. Vous avez beau faire que des bêtises, tout le monde vous passe tout. Et ça n'arrive qu'a vous.

    - Suffit ! tonna la douce Honey. Cessez de vous disputer pour de simple bêtise !

    Hope siffla. Elle connaissais bien Honey, et elle savait que, bien que celle-ci pouvait se montrer douce, gentille et intentionné, elle n’hésiterais pas à défier le plus puissant du Lycée pour protéger ses amis.

    - Je pense que notre chère Hes... Honey à raison, fit une nouvelle voix.

    Tous se tournèrent pour voire une magnifique femme dans la fleur de l'âge.

    - Bonjour à tous. Retournez à vos places, s'il vous plait.

    Elle entra dans la salle.

    - Je suis Ga.. Mlle Hart. Votre nouvelle professeur d'Histoire.

    Tous le monde se précipita à sa place. Mlle Hart sourit.

    - Très bien. Donc, si je me souvient bien de vos nom... Zion, Hope, Percy, Destiny, Hunter, Honey, Anetha, Avril, Alec, Alan, Harlan et Holden, non ?

    - Et Aleah, intervins la belle jeune fille.

    - Aleah, oui, évidemment. Comment ais-je pu t'oublier ? sourit mystérieusement Mlle Hart. Donc, je suis votre nouvelle professeur d'histoire. Vous pouvez m’appeler Grace.

    Grace portait des cahiers dans ses bras et les posa sur le bureau.

    - Bien. Vous avez été admis dans la meilleur université des deux Amériques. Vous avez donc de grandes chances de devenir des personnes importante dans ce monde. J’espère et je sais que vous n'en êtes pas peu fier. Alors, avec moi, vous aller travailler sur tout les mythes et légendes de la mythologie Grecque.

    - Quel est le rapport ? demanda Destiny.

    Grace la regarda, et eu un sourire franc, comme si elle appréciait Destiny au dessus de tout.

    - Tous le monde est passé par la mythologie grecque. D'Alexandre la Grand à Platon, en passant par Homère, Aristote et Socrate. Tous les grands de l'Europe ont été un jour ou l'autre initié à ces légendes, qui leurs à apprise beaucoup de choses.

    - Mais ce n'est plus d'époque, non ? fit moqueusement Holden.

    - C'est toujours d'époque, Her.. Holden, fit sèchement Grace. Bien ! Faites trois groupe de trois, et un groupe de quatre.

    Les groupe se firent aussitôt. Hope se mit avec Honey et Destiny.

    - C'est bon ! clama Percy, qui était avec Zion et Hunter.

    - Très bien. Comme vous vous êtes manifester les premiers, vous ferez chacun un exposé sur un des dieu principaux. Zeus, le roi des dieux pour Zion, Poséidon, le dieu des mers pour Percy et Hadès, le dieu des Enfers pour Hunter.

    - Nous aussi, c'est bon, fit Hope.

    - Parfait. Hope, tu travaillera sur Héra, la reine des dieux, Honey sur Hestia, la gardienne de la famille, et Destiny sur Déméter, la déesse des récoltes.

    Au fur et a mesure qu'elle parlait, elle distribuait des fiches aux élèves.

    - C'est bon pour nous aussi, fit Aleah, qui était avec Avril et Anetha.

    - Ah... la fine équipe ! fit Grace. Aleah, tu travaillera sur Aphrodite, la déesse de l'Amour, Avril sur Artémis, la déesse de la chasse, et Anetha sur Athéna, la déesse de l'intelligence et de la stratégie guerrière.

    Elle se tourna ensuite vers Alec, Alan, Holden et Harlan.

    - Alec, tu fera le dieu de la Guerre, Arès. Alan, tu sera sur le dieu des Arts, Apollon. Holden... Tu prend Hermès, le dieu des voleurs. Et Harlan, Hephaïstos, le dieu forgeron.

    - Il manque Dionysos, non ? demanda Anetha.

    Grace baissa les yeux.

    - Il y a des centaines de dieux secondaire dans la mythologie grecque. On ne peut pas les faire tous, chère petite.

    Elle redressa brusquement la tête.

    - Je vous laisse faire des recherches. Je revient dans une heure, essayer de ne pas être trop bruyants.

    Elle elle sortis aussi silencieusement qu'elle était entrée. Harlan se dirigea en boitillant vers un des ordinateurs toute dernière technologie.

    - Vous pensez qu'elle m'a mit Hephaïstos pour se moquer de ma patte folle ? plaisanta-il.

    Il était vrai qu'Harlan avait une malformation depuis sa naissance, qui le faisais boité dès qu'il se déplaçais.

    - Mais non. Elle a l'air bien, cette prof, le rassura Holden en le rejoignant.

    Tout le monde suivit le mouvement.

    - Je sens que j'adore Artémis, décréta Avril en surfant sur toutes les pages qu'elle avait ouverte.

    - C'est pas la sœur d'Apollon ? demanda Alan.

    - Oui. Elle a aider sa mère à le mettre au monde. Faut croire que tous les dieux ne sont pas très malins !

    - Bon sang, mais combien d'enfant à Zeus ? s'exclama Zion.

    - Trop, décréta Hope, qui lisait un passage sur les infidélité de l'époux d'Héra.

    - Pour quand faut-il rendre l'exposé ? demanda Alec.

    Percy haussa les épaules.

    - On lui demandera quand elle réapparaîtra.

    - C'est bizarre cette manie de buter sur nos nom, vous ne trouver pas ? demanda Alan.

    - Elle est nouvelle. Laisse-lui une chance, fit Hunter.

    Alan haussa un sourcil.

    - Tu as probablement raison.


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