Chapitre 24

Le champ de force disparut, brouiller par ma mère et aider par le pouvoir de Maria, qui était Ténébreuse. En même temps que les professeurs surgissaient dans la cour, armes à la main. Des centaines de Draks apparurent à leur tour et se jetèrent sur les adultes. Mme Laure flottait sur une grande vague et balayant ses ennemis d'un mouvement. Mme Carole contrôlais le feu, et n'épargnais personne. Mme Estelle était sur un grand poteau de pierre, et contrôlait la terre. M. Léo se battait contre des Draks, et dès que possible, il s'enfermait dans un champ de force et laissait Mme Delphine lancer des halos lumineux pour les détruire. Je fus séparer de la femme par d'autres Draks. Je sautai à la gorge d'un, qui émit un râle avant de tomber à terre. Un vieillard. Je venais de tué un vieillard. Je secouai la tête. Je faisais ça pour protéger mes camarades. C'était un Drak. Je n'avais pas à culpabiliser. Je réussi à monter dans un petit chêne pour évaluer notre situation. Il devait bien y avoir cinq centaine de Draks contre nos 22 professeurs. Je cherchai l'esprit de Juliette.

"Prêts ?" demandais-je.

"A mourir pour notre école !" répondis-elle.

"Alors... MAINTENANT !!!!" hurlais-je en télépathie et en vérité. 

Des fenêtres des salles de Physique-Chimie, SVT et Technologie apparurent des dizaines de flèches qui tombaient en rafales sur les Draks, surpris. Ils essayèrent de s'abriter, mais il eu plusieurs morts. Hélas, pas assez. Les flèches continuèrent de pleuvoir, mais les Draks arrivaient à les éviter. Je redescendis dans la mêlée. Du coin de l’œil, je vis M. Côme qui se battait avec la férocité du lion et l'agilité du serpent. Il y avait de plus en plus de Draks, et ils utilisaient tous leurs pouvoirs. Mme Carole luttait contre un autre Ignis, et c'était rude. Je vis Mme Delphine disparaître sous dix Draks, mais j'étais trop loin pour l'aider.

"Oh, Cinquième pierre, aide nous !" priais-je.

Je me jetai contre une femme qui se battait contre M. Pierre, et l'aidai à s'en débarrasser.

- J'aurais pu m'en occupé tous seul ! pesta-il. 

- Je n'en doute, pas, répondis-je d'un ton froid. 

Je vis alors la personne qui semblait commander. Elle était derrière toute la marée noire. Folle de rage devant le responsable de ce massacre, j’essayai de l'atteindre en traversant la marée humaine. Peine perdue. Ils étaient trop nombreux. J'entendis Mme Alexandra hurler de douleurs. J'entendis le bruit sourd d'un corps tombant à terre. Je sentis l'odeur du sang. Un Drak se dressa devant moi. De son épée noire, il m'entailla au flan. Je feulai de rage, puis me jeta dessus.

"A L'AIDE !!!" transmis-je le plus puissamment possible.

Soudain, un éclair roux surgit et attaqua l'homme. Ce dernier tomba, et je vis qu'il avait aussi été transpercer par une flèche. Orion se retourna vers moi et cracha :

- Tu dis vouloir sauver ton école, commence par ne pas te mettre en danger ! 

Et il fila vers d’autres ennemis. Sidérée, je mis un moment avant d’apercevoir Kristall, Cristal et Crystal qui formaient un trio mortel et attaquait courageusement tous ceux qui se tenaient devant elles. Puis, Geb, le demi-cousin de Nout. Ou bien le mien ? Je reconnu la chienne de Juliette, Floki mordre chaque mollet qui se présentais devant elle. Un vieux mâle nommé Charlemagne lacérait les visages Draks en hurlant "Pour Jessie ! Pour Jessie !". Et je me souvins que c'était son compagnon. Leur fils unique, Moïse, se battait aux côtés de son père. Le chat des religieuses, Pinocchio, faisait paire avec Grisette, une jeune femelle aux longues griffes atteinte d'un cancer. Robinson, le berger allemand du policier mordait lui aussi ce qui se présentais, aider par Google, son frère, le chien d'un chercheur en montagne. Nous avions de l'aide des animaux du village. Bien qu'ils ne pouvaient pas tué les Draks à eux seuls, ils les blessaient et les déstabilisaient. Je me retrouvai face à Geb.

- Pourquoi... fis-je. Comment...

- Orion nous à tous raconter. Ta transformation, la cause de la disparition de Jessie... Nous devions nous venger. Et puis, Nout, malgré le fait que nous nous battons souvent, n'est pas sensée être ma demi-cousine ? 

Il se frotta contre moi.

- Toi aussi, donc, conclut-il. 

- Allons-y, fis-je en lui adressant un embryon de sourire.

Alors, nous deux prirent place dans cette bataille, et, à coup de griffe et de crocs, nous libérâmes un petit passage vers M. Jérôme, qui était en difficulté. 

- Il y a trop de Draks ! hurla-il une fois que Geb, lui et moi eûmes fais fuir notre ennemi.

- Nous sommes là pour ça, fit une voix qui fis chavirer mon cœur. 

Craignant une arnaque, je me retournai pour me retrouver face à...

- Metla !

Le grand chat blanc était bien là. Et accompagné d’Égout, Irìnéà , plusieurs autres et...

- Et Dame Ingrid ! continuais-je.

La principale lissa sa longue robe rouge, sur laquelle quelques taches de sang détonaient un peu. Elle me regarda dans les yeux.

- Ne me faîte pas regretter ma décision, fit-elle d'une voix froide.

Elle tendit le bras, rallongé par l'épée d'or et de rubis, et un Drak s'empala dessus, pousser malencontreusement par un de ses camarades. Elle s'enfonça ensuite dans la bataille.

- Ne prenez pas garde à elle, nous rassura Irìnéà. Je pense qu'elle ne s'est jamais autant amusée depuis dix ans.

La générale des Ailes de Montréal s'envola pour harceler les Draks du ciel avec d’autres rapaces. M. Jérôme s’éloignât pour prêter main forte aux chevaliers de la Troisième Maison qui venait d'apparaître. Je me retrouvai seule avec Metla et Geb. Le chat Québécois me lança un regard curieux.

- Metla, voici Geb, mon...

J'hésitai.

- Mon demi-cousin.  

Geb me sourit, et alla se battre.

- Que faîtes-vous là ? demandais-je à Metla.

- Je suis allé plaider auprès d'Ingrid pour qu'elle envoie au moins les Griffes de Montréal ici pour vous aider. Irìnéà à insisté pour y aller elle aussi, et à convaincu Ingrid d'y envoyer ses chevaliers. 

- Merci... murmurais-je.

Il se pencha vers moi.

- Ce n'est rien. Maintenant, allons botter les fesses à tous ces Draks.

J’éclatai de rire pour la première fois depuis longtemps. J’étais avec Metla. Tout allait bien se passer.

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