• Chapitre 6.

    Chapitre 6

     

     

     

     

     

     

     

    Mon grand-père. Halawir. Le chef des Rebailes.

     

    Toutes ces pensées tournaient dans ma tête alors que nous attendions Halawir sur un pic, près du camp. Herza avais déroulée de vieilles carte et discutais a vois basse avec Traqueur. Sauvage était parti en éclaireur pour s'assurer que le père de Hope trouve notre camp. Le père de Hope. Hope, ma mère. Même si une partie de moi-même jubilait à l'idée d'avoir une famille, l'autre, se désolait de savoir ma mère morte.

     

    « Hébé ? Demanda doucement Jhi. Traqueur t'as demander d'approcher.

     

    • Oui, excusez-moi.

      Je m'approcha de Traqueur.

    • Qui a-t-il ? demandais-je une fois à coté de lui.

    • Tu vois cette carte ? Me demanda-t-il gentiment. Sais-tu ce qu'elle représente ?

    • Non, Sir Traqueur, je ne sais pas.

    • Tu peux m'appeler Traqueur tout court, me dit le loup avec un léger sourit au lèvres. Pas besoin de Sir, ni de Seigneur... Cette carte représente la zone de montagne dans la qu'elle nous nous situons.

    • Les Alpes... déchiffrais-je sur le vieux papier.

      Les trois commandants parurent étonner.

    • Tu sais lire ? Me demanda Herza.

    • Oui, répondis-je. J'ai appris en même temps que certains Hommes.

    • Les trois jeunes coq qui était avec toi, ont-ils ce don ?

      Mes amis ! Je l'ai avait oublier !

    • Il faut que j'aille les voir, dis-je. Je les avais oublier...

    • Tu devras attendre, Hébé, car voici Halawir. »

      En effet, deux points noirs se rapprochais de nous. Je les regarda et soudain, jus l'impression que je me rapprochais d'eux.

     

    Je pouvais voir tout les détailles d'Halawir. C'était un magnifique faucon pèlerin, son buste blanc bien plumé s’assombrissait plus on descendais sur son ventre. Ses yeux noir était percent et ses serres acérer presque autans que son bec. Quand il se posa sur la corniche, je retrouva ma vue normal.

     

    « C'est elle ? demanda Halawir, incrédule, a mon père.

     

    • Oui, Sir Halawir, c'est ma fille et celle de Hope.

    • Elle n'as même pas les qualité d'être l’Élue. dit-il avec arrogance.

    • Sir, voyons ! lâcha Brigand.

    • Nous l'avons reconnut, à vous d'en faire autant, grogna Herza.

    • Elle sait voler, argumenta Jhi.

    • Baliverne, marmonna le faucon.

    • Et elle possède le signe, celui de la prophétie, déclara mon père.

    • Il suffit ! Qu'est qu’elle soit, elle n'est pas

      digne du sacrifice de Hope ! Dois-je vous rappelez que ma fille est morte en voulant la protéger ? Elle n'aurait pas dû. Cet oiseau n'est pas l’Élue !

      Soudain, mon bec s’ouvrit, et, sans que je

      m'en empêche, je lui dit :

    • Écoutez moi bien, tas de plume bouffi d'orgueil, vous pensez que je n'ai pas les qualité d'être l’Élue, mais vous, avez-vous les qualité pour être le chef des Rebailles ? Ils vous ont choisi, comme ils m'ont choisie. Ça veut dire que, que je le veuille ou non, vous êtes le chef. Et que vous le voulez ou non, je suis l’Élue. Alors soit vous faite avec, soit vous partez chercher un autre Élu. »

      M’apercevant ce que je venais de dire, je tourna un regard désemparé vers les commandants. Puis je m'aperçus que Traqueur était sur le point d'éclater de rire, Herza souriait de tous ses dents et Jhi et

      Sauvage se retenait d'en faire autant.

      « Eh bien, elle a du caractère,notre Élue, gloussa Traqueur. »

      Je jeta un regard vers Halawir et ce que je

     

    vis dans ses yeux m’étonna ; c'était de la confusion mélangé a de hébétude avec une pointe de fierté. Mais cela ne dura qu'une seconde.

     

    « Je demande une démonstration de vol, déclara-il.

     

    Là, ce fus la panique dans les yeux des commandant.

     

    • Elle ne sait pas entraîner, tenta Jhi.

    • Elle n'a volé qu'une fois, renchéri mon père.

    • Les faucons devraient savoir volé d'instinct, déclara Halawir. »

      Et, sans laissé le temps aux commandants

     

    de reprendre leurs esprits, il me prit par l'aile et me balança dans le vide. Je senti une nouvelle fois le vent dans mes aile, mais cette fois, je me rapprochais de plus en plus rapidement du sol. « Lève tes ailes. » « Bats-les » « Vole » En suivant les ordres que je me lançais, je repris de l’altitude. Sans savoir pourquoi, je vira vers le sud et remonta brusquement. Puis je me souvient que les courant chauds faisais monter et les courants froids descendre. Ma vue s’affermit et je vis des colonnes bleus et rouges. « Les courants... » compris-je. Je vola vers la plus hautes colonne rouge. Je monta plus haut que le pic ou était les commandants émerveillés et mon grand-père. Je jeta un regard de défi a ce dernier et poussa un cri digne d'un véritable rapace. Je tourna encore un peu autour du pic, puis je me posa en douceur a côté de mon père admiratif. Je me tourna vers le faucon en déclarant :

     

    « Alors, convaincu ?

     

    • Plus, souffla-il.

    • Chapeau, Hébé, me dit Herza.

    • C'est vrai, tu lui as bouché un coin, déclara Traqueur.

    • Allez, viens, on va raconter tes exploits au Rebailes, renchérit Jhi en descendant vers le camp.

      Je m’apprêtait a la suivre quand Halawir me demanda de rester.

    • Que voulez-vous ? lui demandais-je une fois que les autres furent descendu.

    • Je voulais te donner l'héritage de Hope, me dit-il en sortant un collier de ses plumes. Je le lui avais donné le jour de son mariage. Elle aurait aimée que tu le portes. »

      Il me donna le collier et je pu observé que

     

    la ficelle était ornée d'une magnifique améthyste finement travaillée.

     

    « Merci... » chuchotais-je avant de m’apercevoir qu'il avait rejoins les autres. Je passa le collier autour de mon cou. Une nouvelle vie commençais.