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Chapitre 7.
Chapitre 7
« Tiens, la puissante Élue daigne se souvenir de nous, lâcha Faucon en me voyant approchée.
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Ce qu'essai habilement de te dire Faucon, c'est que tu nous as abandonnez dans un endroits que nous ne connaissons pas, déclara Aigle en jetant un regard noir au coquelet.
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Mais se n'est pas grave, maintenant que tu es revenue, ajouta Gypaète avec un certain soulagement. On va pouvoir rentré chez nous.
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Vous voulez rentrer au poulailler ? M’étonnais-je
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Bien oui, déclara Faucon. Pourquoi, tu veux rester ici ?
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Euh, hésitais-je devants leurs regards interrogateurs, eh bien j'ai retrouvée mon père et mon grand-père, je suis au milieu d'une prophétie importante, des milliers d'animaux compte sur moi pour arrêter la guerre, mais je suis libre de partir quand on veut. Alors, on y vas ?
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On se doutais que tu dirais ça, soupira Aigle. Moi, personnellement, je n'ai pas trop envie de partir.
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Et si vos deux autres amis on envie de partir, je leur fournirais volontiers une escorte ainsi qu'une mission, déclara Sauvage, suivis de Halawir, Traqueur et Herza.
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Dans ce cas, je rentre chez nous. Qu'elle est votre mission ? Demanda Faucon.
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Nous vous demandons de porter notre parole aux autres animaux. Dites-leurs de soutenir Halawir lors de la guerre.
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Si vous voulez, répondirent Faucon et Gypaète en même temps.
A l'ordre d'un infirme mouvement de
queue d'Herza, deux canards surgirent d'entre les tentes.
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Voici Canari et Canâha. Ils nous ont rejoins il y à quelque années. Ils vont vous escorter jusqu'à votre poulailler. »
A ces mots, les commandants et Halawir repartirent vers leur tentes. Je fis mes
adieux au jeunes coqs et me dépêchas de les rejoindre, Aigle sur les talons.
« Croyez-vous qu'il y aurait un travail pour moi dans le camp ? Demanda Aigle à mon père.
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Peut-être, si vous montrer de la bonne fois... répondis Sauvage, pas vraiment convaincu.
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J'aimerais bien être affecter aux... commença mon ami avant d'être persécuté par une massa de plumes et de poils. Eh, attention ! Protesta-il.
Je pus voir à travers la poussière une belle
lionne qui se remettais debout et un aigle pygargue qui voletais au dessus. Il se posa et jeta un regard noir à mon ami.
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Pardon, on vous avait pas vu, cracha-il.
Mon père le fixa d'un regard aussi acérer que ses serres.
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Pardonnez-nous Sire, nous ne vous avions pas aperçu, Sire, corrigea le pygargue non sans une certaine pointe d'ironie.
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Pardon de t'avoir percuter, dis la lionne à Aigle en lui tendant une griffe. Tu vas bien ?
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Hurmf, protesta-il.
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Wind... siffla Sauvage, que fais tu là ?
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Je me promène. Ça vous gène ?
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Tu fonces dans les gens, riposta le milan, est-ce ainsi que tu te balades ?
L'aigle lui jeta un regard noir et lui tourna le dos, accompagné de la lionne.
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Qui est-ce ? demandais-je.
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Wind, un bâtard, lâcha mon père. Il n'a pas de vrai parents, pas d'identité, et si il est là, c'est seulement grâce à ses parents adoptifs. Ce n'est pas une bonne fréquentation.
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Pourquoi ?
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Tu m’écoutes, quand je parle ? Il n'est rien et ne sera jamais rien.
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Qu'a-t-il fait ?
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L'important n'est pas ce qu'il à fait mais ce qu'il aurait du faire, aboya mon père. C'est un bâtard, il n'est même pas aigle de pur sang, il n'aurait jamais du naître !
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C'est ce que tu ressens quand tu me vois ? Demandais-je, brisants le silence choqué qui s'était installé. Tu vois une bâtarde ? Un oisillon qui n'aurait jamais du naître ?
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Tu... tu n'est pas pareille, bafouilla-il avant de tourné les talons.
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Ce n'est pas ta faute, Hébé, me dit Halawir en me prenant sous l'aile. Sauvage en veux à Wind depuis près d'un an... et c'est bien le seul.
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Pourquoi ?
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Je... je te le dirai quand tu seras plus grande.
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Quand je serais plus grande... pestais-je. Moi, je veux des réponse maintenant !
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C'est exactement ce que m'a dis Hope, quand j'ai rejoins les Rebailes...
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Et toi Aigle, penses-tu que je dois avoir des réponse ? Demandais-je en me tournant vers mon ami. Personne. Aigle ? Ou est-il ?
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Il s'est peut-être égaré, proposa Herza d'une voix hésitante.
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Tu devrais aller le chercher, suggéra Jhi. Les Rebailes l'on vu à tes cotés mais certains ne l'on peut-être pas remarqué... et tu sais comment on traitent les poules ici.
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J'y vais.
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Rejoint nous pour le dîner, me conseilla Traqueur.
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O.K. » Et je partie chercher Aigle. Je le
retrouva vers la tente de la cantine.
« Je suis désolé, j'avais faim alors j'ai suivi la bonne odeur.
- C'est pas grave,de toute façon, Traqueur à dit qu'on devait rentrer avant le dîner. Allez, dépêche... » je laissa ma phrase en suspens car devant nous était apparus la lionne et l'aigle pygargue. Wind.
« Pousse toi, coq. Je veux parlé à Hébé. »
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