• Chapitre 9.

    Chapitre 9

     

     

     

     

     

     

     

    A l'aube, Aigle et moi nous dirigeâmes vers le centre du camp, ou se réunissait les chasseurs avant de partir. A ma grande joie, nous y retrouvâmes Carla et Winda, ainsi que Wind et Elvira. Il y avait aussi l'ourse à collier, un bouquetins, cinq mésanges et deux chiens loups. Le chef nous donna des paniers à nous attaché sur le dos. Nous nous mîmes en chemin dès que le soleil se leva. C'était le bouquetin qui nous donnais des conseils et dirigeais le groupe.

     

    « C'est Rocheux, me dit l'ourse. Il participe à toutes les chasses.

     

    • Et toi, comment tu t’appelles ?

    • Je m’appelle Eva.

    • Eva... c'est joli.

    • Merci.

    • Vous m'écoutez ? Demanda le bouquetin. On va se cacher dans un jardin et attendre que nos alliés nous passent la nourriture. O.K. ?

    • Ouais, chef, lança Aigle, qui n'avait écouter que d'une oreille, plus intéressé par des papillons qui voletait autour de nous.

    • On est bientôt arrivés, déclara Wind, en se posant à coté d'Elvira. Doggy m'a dis que le jardin botanique était fermé et qu'on pouvait s'y cachés.

    • Parfait, s’exclama Rocheux. Faitent comme moi, zigzagué entre les maisons sans vous fairent voir. Wind, Hébé, Tell, Jay, Bey, Raya, Gorki, vous devriez voler. » Les cinq mésanges et Wind prirent leurs envols. Après avoir jeté un regard rassurant à Aigle, je les suivirent. Ils se posèrent dans un jardin rempli de plantes de toutes sortes, devant un chien, qui semblait les attendre.

      « Salut, Doggy, piaillèrent en même temps les mésanges.

    • Salut, les potes, répondis le chien, puis en faisant un signe vers moi : C'est qui ?

    • Je te présente, Hébé, l’Élue, lui dit Wind.

    • Oh ! Salut, Hébé. Je m'appelle Doggy et ça fait 3 ans que je travail pour les Rebailes en espèrent que tu mettes fin à la guerre.

      Je tripotais le collier de Hope, gênée par tout l'espoir que Doggy mettais en moi.

    • Tien, voilà le reste de la troupe, s’exclama-il en voyants arrivés Rocheux, Carla, Winda, Aigle, Eva, Elvira, et les chiens loups. Salut les mecs. Nouvelle recrue ? Demanda-il en voyant Aigle.

    • Ouais. C'est Aigle, le copain d'Hébé.

    • Parfait. Les espions ont la nourriture. Escadrons mésange, volé piqué, s’écria Doggy.

      Les mésanges foncèrent vers Samoëns.

    • Moi, ajouta le chien, je vais glaner des vivres au carnaval. Pleins d'humains y sont. On ne va sûrement pas me remarquer.

    • O.K. Vas-y. »

      Je le suivis du regard jusqu'à qu'il quitte

     

    mon champ de vision.

     

    « Qu'est-ce qu'on fait, au juste ?

     

    • Raya, Tell, Jay, Bey et Gorki vont nous passer la nourriture, et nous la rangerons dans les paniers que nous avons apportés. Nous les transporterons alors jusqu'au camp. » Les mésanges revinrent une première fois avec des quartiers de viande. En les voyants s'envoler une seconde fois, ma vue s’affermit. Je vis à travers les arbres, les maison. Je distingua les Homme, faisant la fête, des gamins déguiser courant de tout les sens, Doggy, cherchant de la nourriture... Et cinq policiers dèguenants leurs arme pour les pointées vers lui.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Chapitre 10

     

     

     

     

     

    « Noooooon ! criais-je en prenant mon envole et en fonçant sur un premier policier. Je lui pris son pistolet et le projeta sur la nuque d'un deuxième à un vitesse vertigineuse. Celui-ci tomba par terre, à moitier assommé. Doggy, qui avait compris la menace, mordu un des homme à la main, le faisant lâché son arme. Je vis du coin de l’œil Wind, qui harcelais le quatrième policier. Je me tourna vers le cinquième, mais je le vis, comme au ralenti, brandir l'arme à feu, et tirer – PAN PAN PAN PAN – quatre balles qui transperça le chien de part en part. Wind fonça sur moi et me fis tomber dans un petite ruelle. Il mit ses aile devant moi pour me protéger de la vu du cadavre... Je vis alors une jeune humaine (13, 14 ans) aux yeux bleu glacier et aux cheveux blonds comme les blés se placer devant Wind pour nous cacher de la vue des policier, qui reprenais leurs esprits. Elle étira sa longue robe froufrouté et nous lança un regard peiné. Je vis dans ses yeux la même tristesse que dans les mien ou ceux de Wind.

     

    « Partons ! me cria le jeune pygargue. Vite ! » Nous nous envolâmes rapidement. J'étais trop bouleverser que Wind du me remettre souvent sur le chemin. Dès que Aigle me vis atterrir, les yeux baignés de larmes, il se précipita sur moi et me pris dans ses ailes. Le chien loup leva un regard interrogateur vers Wind

     

    « Doggy... esseyat-il d'expliquer, le cœur lourd. Les coups de feu...

     

    Eva étouffa un cri.

     

    • Tu... Tu veux dire que, bafouilla-elle, Doggy... est... ?

    • Oui. »

      Un tous petit mots. Mais une triste

     

    signification. Ma vue perçante ne me quittant pas, j’assistai à la mort de Doggy, la jeune fille aux yeux bleu perchée sur son corps, en pleurs.

     

    « Il faut partir » déclara la chienne louve – la seule à ne pas être en larmes. Ma vue se troubla peu à peu et je sombra dans l'inconscience.